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jeudi 22 décembre 2011

NOËL : FÊTER LA MORT ET LE RITE DU CANNIBALISME

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La véritable origine de NOËL

Le XIXe siecle a transforme Noel en une celebration de la famille bourgeoise. Les quêtes d’enfants, dit-il, ” ne sont pas limitées à Noël ; elles se succèdent pendant toute la période critique de l’automne, où la nuit menace le jour comme les morts se font harceleurs des vivants ; elles commencent plusieurs semaines avant la Nativité, généralement trois, établissant donc la liaison avec les quêtes, également costumées de saint Nicolas qui ressuscita les enfants morts

Le rôle du cannibalisme.

Une autre vérité à propos de l’origine de Noël a rapport au mot moderne cannibale. Cette pratique a ses racines dans l’une des fonctions principales de tous les prêtres de Baal. Le mot hébreu pour « prêtre » est Cahn. Voyez maintenant la citation suivante tirée de l’ouvrage « Les Deux Babylones » d’Alexander Hislop, page 232. « C’était un des principes de la loi mosaïque, un principe qui découlait sans aucun doute de la foi des patriarches, que le prêtre devait partager tout ce qui était offert en tant que sacrifice d’expiation (Nombres 18 :9-10). Donc, les prêtres de Nimrod (Baal) avaient aussi l’obligation de manger les victimes des sacrifices humains, et c’est ainsi qu’est né le mot « Cahna-Bal », prêtre de Baal, dans notre propre langue pour désigner ceux qui mangent de la chair humaine. » Personne ne peut ignorer cette réalité. Il est également vrai que la plupart des civilisations possèdent une tradition qui inclut le cannibalisme. Voyez cette affirmation du New York Times. « Quelle est la signification du cannibalisme ? » par Erik Eckholm. Le cannibalisme a, par le passé, à la fois fasciné et repoussé virtuellement chaque société connue, incluant celles qui sont réputées l’avoir pratiqué. » Le même article poursuivait en démontrant que la plupart des civilisations attribuaient une signification divine à une telle pratique.

«Plus loin au nord, le long de la Baltique et en Scandinavie, une fête d’hiver connue comme Noël a honoré les dieux Odin et Thor. Grandes bûches étaient en flammes, les ménestrels chantaient, des légendes célèbres étaient racontées, et les paysans buvaient à l’excès des cornes du hydromel. »

Poursuivons du Reader’s Digest “Why in the World?”, page 190 : « Dans l’Empire romain, une orgie de huit jours du festoiement et de la débauche, les Saturnales, avait lieu à mi-décembre, lorsque le soleil approchait son plus bas. Le solstice d’hiver le tournant de l’année, lorsque la durée du jour a commencé à s’allonger – était marqué par un jour sacré appelé Dies Natalis Invicti Solis (“l’anniversaire du Soleil Invincible”). Pendant les Saturnales, les Romains ornaient leurs maisons des lauriers et de la verdure; les amis ont échangés des cadeaux … Il était une saison de réjouissance, avec la bonne volonté aux hommes.


Wodan [ ou Odin ] est devenu – le Père Noël [Santa Claus], ou, comme il est appelé plus commun, St. Nicholas

Qu’en est-il du mythe du Père Noël ?

Avez-vous déjà pensé que vous pourriez être en train de faire passer vos enfants par le feu, les sacrifier, (d’une manière différente toutefois) en observant la fête de Noël, tout en essayant sincèrement de mettre « l’emphase sur le Christ » ?

Selon « l’Encyclopedia of World History » de Langer (article Santa), le nom de ce personnage était un surnom commun de Nimrod en Asie mineure. C’était aussi le même dieu du feu qui descendait dans les cheminées chez les anciens païens et le même dieu du feu pour qui des enfants étaient brûlés et mangés lors des sacrifices humains pratiqués par ceux qui jadis avaient été le peuple de Dieu.


L’Encyclopédie Americana, édition 1956, ajoute : « Noël… ne fut pas observée pendant les premiers siècles puisque l’usage était, en général, de célébrer la mort de personnes importantes plutôt que leur naissance…une fête fut établie pour cet événement (la naissance du Christ) au quatrième siècle. Au cinquième siècle l’Église de l’Ouest ordonna que la fête soit célébrée perpétuellement le jour des rites mithriaques de la naissance du Soleil ainsi qu’à la fin des saturnales, puisqu’il n’y avait aucune certitude quant à la date exacte de la naissance du Christ. »

Impossible de faire erreur sur l’ORIGINE moderne de la célébration de Noël. Nous pourrions citer plusieurs autres sources. Nous y reviendrons plus loin. Commençons par rattacher ensemble certains faits.

Cela a pris 300 ans avant que l’Église romaine observe Noël et ce n’est qu’au cinquième siècle qu’elle ne devint obligatoire dans tout l’empire en tant que festival officiel en l’honneur du « Christ ».


ARBRE DE NOËL

Dans la légende scandinave, Odin [ ou Wodan ] est appelé « Tout-Père. » Il était regardé en tant que « dieu en chef dans une trinité païenne […] et cette trinité est devenue le créateur de l’homme.” (voir Earl W. Count, “4000 Years of Christmas,” 1948, p. 52). Dans des légendes germaniques, Wodan [ ou Odin ] avait un arbre saint, et lorsque quelqu’un est venu près de cet arbre le 25 décembre, il a trouvé des présents l’au-dessous. En outre, le jour de Wodan où il était adoré a été le 6 décembre. Wodan ou Odin est dépeint en tant qu’un vieil homme avec un grand chapeau, un manteau large, et une longue barbe grise, qui monte à cheval. Bien que le Père Noël moderne monte à traineau tiré par le renne, ce n’était pas toujours le cas. Selon la tradition, le Père Noël montait à cheval à l’origine.

Les sacrifices d’enfants.

Veuillez noter la pratique horrible qui est associée à l’adoration du dieu du feu (Nimrod, Saturne, Chronos, Moloch et Baal) dans les références suivantes tirées du livre Les deux Babylones d’Alexander Hislop, p. 231.


« Les Phéniciens » disaient Eusèbe, sacrifiaient chaque année leurs nouveau-nés bien-aimés à Chronos ou Saturne. »


Mais pourquoi les sacrifices humains ont-ils une telle importance dans l’adoration de ce terrible dieu ? Quel bien les êtres humains pouvaient-ils espérer dans le fait de sacrifier leurs propres enfants ? Continuons : « …celui qui s’approchait du feu recevait une lumière de la part de la divinité » et « par ce feu divin toutes les taches dues aux générations précédentes pouvaient être effacées. » C’est la raison pour laquelle ils [ont fait passer par le feu] à Moloch leurs fils et leurs filles (Jér 32 :35).

Dans Apocalypse 2 :6 et 15, la Bible traite du sujet de la « doctrine des Nicolaïtes ». à propos de laquelle le Christ dit qu’il la hait. Analysons le terme Nicolaïtes. Cela signifie « disciple de Nicolas ». Nikos signifie « conquérant, destructeur ». Laos signifie « peuple ». Les Nicolaïtes sont donc ceux qui suivent le conquérant ou destructeur — Nimrod. Si jamais vous aviez cru qu’observer Noël est une coutume chrétienne sans conséquence, alors permettez à ces vérités de s’imprégner dans votre esprit.

Sacrifiés à Moloch.

Voyons comment le peuple de Dieu, Israël, adorait Baal-Moloch une fois qu’il avait abandonné le vrai Dieu : « Ils ont bâti des hauts lieux à Baal dans la vallée de Ben-Hinnom, pour faire passer (par le feu) à Moloch leurs fils et leurs filles : Ce que je ne leur avais point ordonné ; et il ne m’était point venu à la pensée qu’ils commettraient de telles horreurs… », (Jér 32 :35).

Comme ces rites qu’on avait cru noyés dans l’oubli et qui finissent par refaire surface, on pourrait dire que le temps de Noël, après des siècles d’endoctrinement chrétien, vit aujourd’hui le retour des saturnales. Nos pratiques festives n’ont pas d’âge. Le tout récent y côtoie l’ancestral et nous ne cessons, pour renouveler nos gestes, de recycler le même arsenal de représentations symboliques. La bûche de Noël n’est devenue l’incontournable pâtisserie de réveillon que depuis la dernière guerre. Ce n’est pourtant que la conversion en beurre et en sucre d’une bûche d’arbre fruitier qu’on brûlait rituellement à Noël depuis le Moyen Age et qui devait se consumer toute la nuit pour porter bonheur. Le sapin de Noël d’origine nordique est entré en Allemagne avec les troupes suédoises pendant la guerre de Trente Ans. Au XIXe siècle, il débarque en Angleterre et s’introduit dans les bonnes familles françaises à la faveur des noces de la princesse de Mecklembourg avec le duc d’Orléans.


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